• Éducation nationale mon amour !

    Hormis notre désapprobation de la décision prise au sujet de notre fille sans nous concerter, les rapports avec l’équipe enseignante furent toujours courtois et bienveillants. Nous avons expliqué aux maitresses qu’il nous semblait nécessaire que nos enfants soufflent un peu, en particulier notre fils. Elles nous ont remis tout leur matériel et tout le monde s’est dit au revoir.

    Une fois prise la décision de déscolariser nos enfants, nous en avons immédiatement averti les autorités compétentes : l’inspection académique et le maire. En expliquant les choses, en n’incriminant surtout pas les enseignantes.

    Si nous avions des doutes quant à l’existence de l’équipe ressource, que nous n’avons jamais pu rencontrer, nous fûmes pleinement assurés de l’existence de l’inspection académique.

    Une semaine après, nous recevions un courrier « type » de trois pages de l’inspection, afin de nous informer de toutes les peines que nous encourions si l’autorité « éducation nationale » devait constater nos manquements en matière d’instruction ! Cette même autorité qui n’avait pas pu nous envoyer rapidement sa fameuse équipe ressource !

    Nous risquons tout. De l’obligation de les remettre immédiatement entre les mains "savantes" de l’éducation nationale, à la prison en passant par l’amende…

    Du coup, avec mon mari, nous avons essayé de trouver quelle peine encourait l’éducation nationale, dans le cas où elle ne remplissait pas sa mission ! Dans notre cas, elle n’avait pas réussi à rassurer nos enfants ni à apprendre à lire à notre fils…

    Figurez vous que rien n’existe ! Non, l’Éducation Nationale n’a aucune obligation de réaliser ce qu’elle prétend donner à nos enfants. Ils apprennent tant mieux, ils se plantent c’est pour notre « pomme » !

    Nous nous sommes abstenus de lui répondre, afin de ne pas rentrer dans un conflit qui aurait été préjudiciable à nos enfants…

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